De couteaux et de textos →

La Presse Canadienne, 13 août 2014 :

Occupé à texter, un homme heurte un passant qui le poignarde

Dans ce titre, on garde le plus important pour la fin (dans une subordonnée, qui plus est). Ne serait-il pas plus clair (et respectueux pour la victime) de dire «Un homme poignardé pour avoir heurté un passant en textant»